Vous connaissez le dicton au sujet du mois en cours ? En avril, ne te découvre pas d’un slime ! Par conséquent, le staff s’adapte en vous proposant la série animée, Moi, quand je me réincarne en slime !
Résumé : Satoru, employé de bureau lambda, se fait assassiner par un criminel en pleine rue. Son histoire aurait dû s’arrêter là, mais il se retrouve soudain réincarné dans un autre monde sous la forme d’un Slime, le monstre le plus faible du bestiaire fantastique. Le voilà équipé de deux compétences uniques : « Prédateur », lui permettant de récupérer les aptitudes de ses adversaires, et « Grand Sage », grâce à laquelle il acquiert une compréhension aiguë de son environnement. Mais même muni de ces armes, ses chances de survie semblent cependant limitées. Source : Crunchyroll
La série animée adapte le light novel éponyme, signé Fuse avec Mitz Vah aux illustrations et publié au Japon par les éditions Micro Magazine. La saga est toujours en cours et compte 13 volumes. Une adaptation en manga par Kawakami Taiki, a débuté en 2015 et compte actuellement 11 tomes. En France, le manga est publié par les éditions Kurokawa. Une seconde saison a été annoncée pour l’année 2020.
Les musiques ne m’ont pas laissé un grand souvenir. Les deux opening sont interprétés par Takuma Terashima. Le premier s’intitule Nameless story (épisodes 1 à 14) et le second, Megurumono (épisodes 15 à 24.5). En ce qui concerne les ending, True est en charge du premier, Another colony (épisodes 2 à 13) tandis que Azusa Tadokoro interprète le second, Little Soldier (épisodes 14 à 24.5).
Toutes ces images de slime, cela apaise.
Je ne me suis pas encore laissée tenter (ni par le manga, ni par l’anime), mais l’histoire a l’air chouette.
J’ai été agréablement surprise par les deux « versions » car même si l’histoire est identique, le traitement est différent et les deux adaptations se complètent.