Campione! Matsurowanu kamigami to kami koroshi no maou

Campione! Matsurowanu kamigami to kami koroshi no maou

Avis principal par Maella

Résumé : Godô Kusanagi est un étudiant japonais en vacances en Italie. Il se rend en Sardaigne à la demande de son grand-père, un ethnologue qui a parcouru le monde pour livrer une mystérieuse tablette en pierre. Attirée par cet objet, Erica Blandelli interpelle Godô, qui n’a visiblement aucune idée de l’importance de ce qu’il tient entre ses mains. C’est alors qu’apparait un dieu hérétique, c’est-à-dire un dieu qui s’est échappé du monde mythologique et qui a pris une forme corporelle pour venir sur Terre. Il lance un défi à un autre dieu, et un combat dévastateur s’engage. Afin d’empêcher la destruction de l’île, Godô prend part au combat, aidé par Erica, et tue l’une des deux divinités. Ayant accompli cette prouesse, il devient un Campione, un tueur de dieux. Il doit désormais se dresser devant eux, mais il est loin d’avoir conscience de l’ampleur de sa tâche et des responsabilités qui pèsent sur ses épaules…
Source : Animeka

 

Au début, j’ai beaucoup aimé Campione, mais au fur et à mesure j’ai commencé à me lasser. J’essaie de tenir le coup jusqu’à la fin, en espérant que quelques choses arrivera à retenir mon attention.

Il n’y a pas vraiment d’histoire à vrai dire. Tout commence lorsque le grand-père de Gôdo lui demande de donner une sorte de tablette magique à quelqu’un qui se trouve en Italie. Par la suite, tout s’enchaine très vite, il faut s’accrocher pour réussir à comprendre. Pour un premier épisode on est vraiment bombardé d’évènements ! Gôdo rencontre Erica, puis un Dieu, et ensuite il se bat, lui et Erica s’embrassent, il devient un Campione (en tuant le dieu) et c’est la fin du premier épisode. La suite n’est pas réellement mieux, dans le sens où parfois on a une impression de flottement puisqu’on comprend pas tout. Des personnages sortent de nulle part et viennent tranquillement se « mêler » à l’histoire. J’apprécie quand même cette série car les combats apportent une sorte d’adrénaline, surtout avec l’OST qui va vraiment bien avec les scènes.
Autre point que j’aime bien dans Campione, c’est le côté culturel. En effet, on en apprends plus sur la mythologie grecque car chaque adversaire que Gôdo doit combattre fait parti de la mythologie et l’histoire de ce personnage est donné.
Le gros point négatif qui se fait de plus en plus sentir, c’est le côté harem. Au début en lisant juste le résumé je m’y attendais pas vraiment, du coup ça m’a assez surprise (enfin on le voit dans l’opening, surtout la dernière image). Surtout qu’à un moment donné, j’avais l’impression que le héros aimait deux filles en même temps, une sorte de partie à 3 en fait … Autre point négatif, comme je l’ai dit au début du paragraphe, c’est l’absence d’histoires. L’anime se résume en un enchainement de combats successif et c’est assez redondant.

Godô m’agace un peu, j’ai l’impression qu’il n’a pas de réel personnalité. J’ai trouvé qu’il n’en imposait pas assez pour un héros. C’est comme s’il était là juste pour se faire draguer et pour « sauver le monde ». Erica est un personnage que j’ai eu du mal à cerner. J’ai l’impression qu’elle est en quelque sorte fausse, c’est un personnage que j’ai eu du mal à saisir.

Le graphisme est superbe, les décors sont magnifiques. Je n’ai jamais vu Rome, mais ça semblait assez ressemblant. L’animation est toute aussi superbe, les combats sont vraiment palpitants.

Quant à l’OST, il correspond vraiment à l’ambiance un peu médiéval de l’anime.

 

  • Scénario
  • Dessin
2.8

En conclusion

Un anime palpitant, mais redondant car il n’y a pas vraiment d’histoire. De plus le côté harem et ecchi devient de plus en plus insupportable.

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