Amaama to Inazuma

Amaama to Inazuma

Avis principal par Beldaran

Résumé : Depuis la mort de sa femme, un jeune enseignant s’occupe seul de sa petite fille, Tsumugi. N’étant pas un adepte de la cuisine, il se contente bien souvent d’acheter des plats cuisinés au supermarché du coin. Jusqu’au jour où, dans un restaurant, il croise une de ses élèves. Surpris, il apprend que sa mère tient le commerce. Il va alors apprendre à cuisiner de bons petits plats…
Source : Crunchyroll

 

Il est là, l’anime mignon et attendrissant de la saison et il fait du bien au moral, tout en stimulant les papilles gustatives. J’ai été totalement conquise par les 6 premiers épisodes.

Amaama to Inazuma nous plonge dans le quotidien simple de Kôhei Inuzuka et de sa fille, Tsumugi. Veuf, il doit prendre en main beaucoup de choses mais délaisse la « préparation des repas ».
Le récit n’est pas tortueux puisqu’au fil des épisodes on suit la volonté de ce père, de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que sa fille soit heureuse et ne manque de rien. Rapidement, la « quête » de Kôhei va être de nourrir le petit ogre Tsumugi et pour se faire, il va « squatter » le restaurant de la mère d’une de ses élèves. On pourrait craindre une sorte de répétition dans la narration, puisqu’un épisode correspond à un plat mais cela passe bien. En effet, même si la cuisine tient une place importante, il y a ce qu’il se passe en dehors, même si ce n’est pas ultra développé. Ainsi, on découvre brièvement les collègues de Kôhei au lycée, la maternelle de Tsumugi et dans le dernier épisode, le monde fabuleux de Tsumugi (épisode vraiment génial).
L’histoire met surtout en avant les liens qui se tissent entre les personnes, ceux familiaux bien sûr et la relation Kôhei/Tsumugi en est le parfait exemple puis les autres comme celui qui se créé entre l’attachant duo et Kotori, la lycéenne. L’arrivée de Shinobu dans le petit groupe, interroge sur la relation entre Kôhei et Kotori car pour l’instant, il n’y a pas de romance et de mon point de vue, celle-ci n’a rien à faire dans cette série dont on sent que ce n’est pas le propos.

L’histoire est simple et très plaisante à suivre grâce aux personnages qui sont attachants, la petite Tsumugi en tête. Tsumugi est pleine d’entrain, ne se laisse pas abattre mais quand elle n’aime pas quelque chose cela se voit et cela s’entend : mode caprice activé ! Les différentes têtes qu’elle fait sont très drôles. Je suis fan ! On sent que cuisiner avec son père et Kotori la rend heureuse. Elle est vraiment très mignonne. Ses danses d’encouragements sont tordantes.
Ensuite, il y a son père, kôhei Inuzuka, professeur au lycée qui apparaît comme totalement largué au début mais qui s’accroche. Il aime sa fille et fait ce qu’il peut pour concilier son boulot et Tsumugi. Ses efforts en cuisine sont chouettes à suivre. Je me demande s’il a réellement fait le deuil de sa femme.
Au duo, s’ajoute Kotori, la fille de la patronne du restaurant. Patronne qu’on voit brièvement et qui semble grandement déjantée. Kotori semble plus réservée et adore la nourriture au point d’en pleurer. Elle aime cuisiner mais elle a une phobie qui la « coupe » dans sa passion. L’arrivée de Tsumugi et son père la tire de sa solitude et elle semble s’épanouir. Je préfère penser qu’elle voit Kôhei comme un père ou un ami. Le fait est que ce petit groupe fonctionne et il est amusant de les voir interagir pour le bonheur culinaire de Tsumugi.

En ce qui concerne la réalisation, pour ce type de série c’est correct. Les graphismes ne sont pas exceptionnels mais cela passe. Du côté des musiques c’est très sympa, notamment les chansons de l’épisode 6. L’opening est ultra dynamique !

 

Fiche réalisée grâce à l’accès presse de Crunchyroll.

 

  • Scénario
  • Dessin
3

En conclusion

Amaama to Inazuma est une série tranche-de-vie toute mignonne qui donne le sourire. Un anime détente et rafraichissant comme on les aime !

Envoi
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