Ludwig Fantasy

Avis principal par ookami shiroi

A peine ai-je lu les deux premières pages que je me suis tout de suite retrouvée dans l’univers de Ludwig. On passe des contes de Grimm au conte d’Andersen puis à un conte japonais.

L’histoire : Comme dit plus haut, on retrouve le même scénario, Ludwig, un prince un peu trop penché sur la taille des poitrines, qui continuent de chercher une épouse pour hériter du trône. Toujours dans un style gothique, l’humour est toujours au rendez-vous bien que le deuxième conte exploité se veut sérieux. Ayant vu le film de Ghibli « La princesse Kaguya » et connaissant les points importants de ce compte, je dois dire qu’il est, comme d’habitude, bien détourné. Petit bémol : Peut-être un peu moins de suspense. On s’attend à une chute… peut-être est-ce dû au fait qu’on connait déjà le contexte de l’histoire et les contes ?

Les personnages : Ludwig reste un prince dont la poitrine des femmes est le centre d’intérêt, toujours aussi excentrique et désinvolte. Il est toujours égal à lui-même. Wilheim, quant à lui, semble gagner un peu en assurance mais ce n’est pas encore gagné, il est toujours aussi dévoué à son prince. Quant à Dorothea, toujours très utile lorsqu’il s’agit de magie, elle n’a pas changé vis-à-vis du prince Louis. Ajouté à cela des marins qui ont trop fait confiance à Ludwig et des princesses toujours aussi caractérielle ou folle.

Le graphisme : Du pur Kaori Yuki, du pur Ludwig Revolution… ou plutôt Ludwig Fantasy. Le graphisme est cependant peut-être un peu plus soigné et plus beau, les décors sont toujours adaptés à l’univers du manga. Cependant, je déplore que la petite sirène, ressemble, à mes yeux, un peu trop à Cendrillon.