Avis principal par ookami shiroi
Du même auteur qu’I’m the only wolf et deuxième œuvre de Nachi Yûki, j’avais envie de voir si une autre œuvre de l’auteur me plairait et ainsi peut-être me fidéliser. Et je dois dire, qu’à certains détails près, je suis heureuse d’avoir fait cette acquisition.
L’histoire : Histoire dont le contexte s’installe assez rapidement, on espère donc, que par la suite, l’auteur prendra le temps de développer l’histoire. En effet, si I’m the only wolf était court, la trame s’est installée de façon simple et efficace. Ici, le contexte est posé rapidement, sans détour mais peut-être est-ce pour mieux accueillir la suite.
Les personnages : Mirei me fait un peu penser à Tsubaki Hibino dans les premiers tomes de Tsubaki Love mais en pire. Ici, on découvre une jeune fille complexée par sa pauvreté et les habitudes prises depuis sa naissance. Jeune fille naïve, on s’attache cependant très vite à elle et on a envie de l’encourager. Fumiya, lui, ressemble très graphiquement à Keita dans I’m the only wolf mais il a un caractère bien différent. Il semble simple et généreux pour un garçon qui vit très aisément. On ne peut que rire de ses réactions face à une Mirei démunie et négative. Des personnages donc attachants et dont on a envie de connaitre les péripéties à venir.
Le graphisme : On reconnaît ici la patte de Nachi Yuki, notamment avec l’apparence de Fumiya Mano qui ressemble beaucoup à Keita, comme je l’ai dis précédemment. Les décors sont assez simples mais efficaces. On peut déplorer le fait qu’il en manque parfois mais rien de bien méchant. Il est dommage aussi que les parents de Mirei et les vendeurs de journaux ne soient pas plus travaillés. Cependant, dans l’ensemble, le graphisme est bon.
En conclusion
Quand on a aimé I’m the only wolf, tant sur le plan graphique que le plan scénaristique, on ne peut qu’adopter Come to me. L’histoire est très éloignée et donne envie d’en savoir plus sur l’évolution des personnages.
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