Avis principal par ookami shiroi
J’avais toujours eu envie d’avoir une version papier d’Albator, je n’ai jamais eu l’occasion d’en acheter. Mais grâce à l’opération « lancement » de Kana, j’ai sauté sur l’occasion et j’ai acheté le premier tome de cette nouvelle aventure d’Albator (avec pour objectif évidemment, d’acheter les précédentes séries). Aussi, hormis Albator 78, je n’aurai pas de vraies notions de comparaison mais je dois dire que ce premier tome est un régal et j’ai hâte d’avoir la suite. Albator reste surtout l’une des rares science-fictions que j’apprécie.
L’histoire : Je peux peut-être me tromper et sans doute que la suite contredira mes pensées, mais il semblerait que Dimension Voyage soit la version papier, justement, d’Albator 78, c’est-à-dire la seule version d’Albator que j’ai pu voir en anime quand j’étais au collège et qui passait sur la 3. Bref, l’histoire commence directement dans l’action. On nous met aussitôt dans l’ambiance. Et on est vite aborder par les évènements qui ne trainent pas. Un bon début en somme. De mon point de vue, pour le moment, ce nouvel Albator semble reprendre l’histoire de base mais vu à travers les yeux de Ramis, mais peut-être n’est-ce qu’une impression.
Le graphisme : Il est plutôt fidèle à ce qu’est la série d’origine avec cependant un graphisme plus poussé et soigné. On sent un souffle de renouveau. Évidemment, le style science-fiction et quasi-apocalyptique ressort bien. On se sent bien projeté dans l’univers de la série. Dans l’univers de Matsumoto Leiji. Chaque personnage semble avoir gagné un coup de jeune sous le coup de crayon de leur auteur. Bref, un graphisme tout à fait reconnaissable.
Les personnages : On retrouve le charismatique capitaine Albator, un corsaire considéré comme pirate de l’espace et son équipage qui ont pour seul et unique objectif de sauver la terre d’une terrible menace. Le courageux Ramis qui, après l’assassinat de son père, décide de tout mettre en œuvre dans ce même but. Bref, des personnages que nous connaissons déjà et qui reviennent dans cette aventure de l’espace. Les héros de nos parents sont remis aux goûts du jour pour notre plus grand plaisir. Je regrette seulement l’absence de la jeune Stellie, mais a-t-elle réellement été éclipsée de la série papier ou la verrons-nous dans les prochains tomes ? C’est à suivre.
En conclusion
Un Albator 78 remis au goût du jour et couché sur le papier. Voilà de quoi attirer les curieux et les fans du corsaire de l’espace. Une nouvelle série qui nous donne envie de pousser la chansonnette : « ♪Ton cœur est bon, ton cœur est grand, pour tous les enfants !♪ ».
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