La longueur idéale d’un shôjo ?

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La longueur idéale d’un shôjo ?

Le mois dernier était annoncée la fin de L-DK d’Aya Watanabe, publié chez Pika, il comptera au final 24 tomes et l’annonce avait fait réagir autant sur le site que sur Facebook car il semblerait que beaucoup trouvait que la série s’essoufflait depuis un certain temps…

Hier, c’est la fin d’un autre shôjo incontournable qui a été annoncée, celle de Sawako, publié chez Kana… Si nous n’avons pas d’infos sur le nombre définitif de tomes, la série compte actuellement 28 tomes et l’arc final commencera le 13 juillet au Japon. On peut supposer que Sawako atteindra les 30 tomes…

Est-vous plutôt série courte qui va à l’essentiel ? Préférez-vous les séries longues qui prennent le temps de développer l’histoire et les personnages secondaires ? Quelle est pour vous la longueur idéale d’un shôjo ?
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Administratrice sadique et sarcastique chargée de tout le côté technique de Bulle Shôjo. Fleur bleue dans l'âme ayant un goût certain et un certain goût pour les shôjo et les seinen.

6 commentaires au sujet de « La longueur idéale d’un shôjo ? »

  1. Pour ma part, je trouve que 10 volumes c’est très bien pour un shôjo. J’aime bien aussi quand on se penche sur tous les personnages et donc 10 volumes permettent en général de faire le tour.
    Mais certains shôjos plus courts sont très bien aussi, avec par exemple moitié moins de tomes.
    Il est également vrai que d’autres shôjos plus long sont intéressants. Pour moi, si un shôjo dépasse les 10-13 volumes, il faut qu’il ait une histoire intéressante pour durer si longtemps. Les shôjos qui sont très longs et dont l’histoire est uniquement centrée sur les sentiments s’essoufflent rapidement je trouve. Par contre, dès qu’il y a un thème, une dimension dramatique ou bien fantastique par exemple, alors on a envie de continuer à lire. Je pense notamment à Life qui fait 20 volumes et qui a un sujet très intéressant, ou encore à Angel Sanctuary qui mêle fantastique et drame.
    Je me rends donc compte que finalement, c’est le contenu qui fait qu’on a envie de continuer à lire ou non. Mais il est vrai qu’un nombre de volume trop important peu parfois nuire à la série, car cela traine trop ou alors on se lasse.
    Au final, pour moi la longueur idéale d’un shôjo est de +/- 10 volumes, en gardant une marge avec 4 volumes pour des shôjos plutôt basiques avec peu de personnages et 15-20 pour des shôjos avec des histoires plus complexes.

  2. Pour ma part, je dirais que 13 est le nombre idéal… Peut-être parce que c’est un nombre maudit et qu’il fait peur ^_^

    Plus sérieusement, je trouve que c’est le nombre idéal pour développer les personnages et l’histoire correctement, sans partir dans des arcs scénaristiques inutiles ou sans avoir des situations sorties de l’espace… Pour une romance lycéenne, je pense que ce nombre de tomes permet d’avoir une histoire équilibrée dont on ne se lasse pas au fil de la lecture.

    Pour certains shôjo, avec une thématique ou une histoire forte, ce nombre peut augmenter 🙂 Je pense notamment à Basara ou à La Fleur Millénaire (même si ce dernier est terminé en 15 tomes), ce sont des mangas où l’histoire et le monde développé sont denses et demande plus de tomes pour obtenir un résultat satisfaisant. Ce sont des mangas où le contexte et l’histoire sont aussi, voir même plus, important que les personnages et l’éventuelle romance.

    13 tomes, c’est pour moi l’idéal, mais si le/la mangaka gère bien son histoire et les rebondissement, cela ne me dérange pas qu’il y ait plus de tomes, tant que cela reste crédible et équilibré.

  3. J’aurais dit entre 10 et 15 tomes pour faire une moyenne. Je n’aime ni les séries trop courtes ni les trop longues, cependant si une série est géniale et qu’elle ne s’essoufle pas, elle peut bien durer 50 tomes que ça ne me gêne pas, si c’est juste pour faire durer, que ça traine en longueur et que ça sache la qualité de la série, là en effet ça devient embêtant. Je ne suis pas fan des séries trop courtes non plus, ça me laisse souvent un goût de pas fini, ou alors je n’ai pas le temps de m’attacher aux persos ou à l’histoire. Contrairement à la majorité, cependant, j’aime toujours beaucoup L-DK ^^! Sawako c’est long mais c’est bien aussi, d’ailleurs, j’avais trouvé ça plus long dans les débuts que maintenant à vrai dire.

    1. Pour Sawako, j’avais eu la même impression lors de ma première lecture, c’était long… Mais j’ai relu tout le début d’une traite et ça passe bien mieux, j’ai trouvé ça fluide et rapide, tu te rends mieux compte de tous les éléments mis en place par la mangaka 😉
      Pour tout dire, je rêve d’une licence de Glass no Kamen et pourtant le manga a, actuellement, 49 tomes au compteur… Mais je ne pense pas qu’un éditeur prenne un tel risque.

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