Hier, avec l’annonce du nouveau shôjo des éditions Soleil Manga, celle des éditions Ototo a donné encore plus de grain à moudre aux lectrices de shôjo, car après le cliché romance = shôjo, v’là que les kaijû s’en mêlent avec le manga, Kaijû Girl Carameliser !
Laissez-moi clarifier le tout. L’éditeur annonce l’arrivée d’un titre dessiné par Spica Aoki dans le magazine Comic Alive des éditions Media Factory. Ce magazine est estampillé « seinen » mais , l’autrice l’explique elle-même, elle joue avec les codes du shôjo et ceux des films de kaiju, pour un résultat shojoesque étrange. Si les éditions Ototo ont employé le terme « shôjo » dans leur communication, elles ont l’intelligence de publier le manga sans classification et vous noterez que le logo éditeur reprend le code couleur des trois classifications.
La série est toujours en cours de publication avec six volumes.
Le premier tome sera disponible dès le 28 octobre.
Résumé (7.99€) :
Depuis toute petite Kuroe souffre d’une curieuse maladie. Sans raisons apparentes, des parties de son corps se transforment en celles d’un monstre, elle obtient donc tantôt des écailles, tantôt des cornes ou encore une queue. Tenant à distance ses camarades de classe afin d’éviter toutes transformations inopinées, elle est vue comme la bête noire du lycée. Cependant, au contact de Minami, le garçon le plus populaire du lycée, ses symptômes vont se mettre à réagir d’une bien étrange façon…
Source : Ototo