La Forêt des Roses

La Forêt des Roses

Résumé :

Yô vit avec un vampire. Un vampire bien loin des clichés fictifs qui, s’il boit du sang, préfère cultiver de magnifiques rosiers. Derrière leur relation, il y a un mystérieux système de réincarnations, la malédiction des êtres immortels, et beaucoup de choses encore que Yô ignore. Pourtant, il a déjà choisi sa voie. Mais ce n’est pas tout… Dans d’autres aventures, vous pourrez visiter Monte Carlo au bras d’une mystérieuse beauté, pénétrer dans les bains chauds aux côtés de deux fougueux jeunes gens, et même apprécier de jolies gambettes là où vous ne pensiez pas en trouver. Source : Boy’s Love IDP

Avis principal par Beldaran

L’autrice est déjà connue en France grâce au one-shot, Shinjuku Lucky Hole, publié également aux éditions Boy’s Love – IDP mais je découvre son travail avec ce titre.

L’ouvrage est une compilation de quatre histoires plus ou moins originales et surtout plus ou moins intéressantes qui mettent en lumière différentes formes de relation. Les scènes de sexe sont présentes mais légères et sensuelles. Le format impose des traitements superficiels des différents récits donc j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages. La lecture ne fut pas déplaisante mais pas réellement mémorable.

La première histoire, Quand nous étions dans la forêt de roses, correspond au visuel de la couverture ainsi qu’au résumé du one-shot. C’est un récit doux-amer qui touche à l’âme sœur et aux réincarnations. L’histoire d’amour concerne un vampanella, vampire qui entretient son jardin de roses et son âme sœur. Le récit est simple, teinté de mélancolie. C’est celui que j’ai le plus apprécié.

La seconde, intitulée La Pluie à Monte-Carlo, offre une thématique originale autour du milieu du cinéma et se déroule en France. Elle met en scène un acteur en perte de vitesse et une étoile montante. Le récit est touchant et amusant mais trop bref.

La troisième met en avant deux lycéens bagarreurs, Yoshiki et Takumi qui s’apaisent au bain public. Le déroulement est classique mais ponctué de touches d’humour. L’histoire bonus traite de ce couple. On sent que l’autrice apprécie les personnages.

La dernière, Be here to love me, n’est pas franchement emballante. Elle développe un côté vulgaire assez désagréable à suivre.

La postface est particulièrement intéressante car Kumota Haruko nous livre le dessous du recueil avec de nombreuses informations sur les différents récits.

Les graphismes sont particuliers mais dégagent une certaine douceur.

L’édition est correcte avec une première page en couleurs.

Fiche réalisée grâce au service de presse des éditions Boy’s Love IDP.

  • Scénario
  • Dessin
2.5

En conclusion

La Forêt des roses propose un recueil d’histoires sympathiques à lire mais pas inoubliables.

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